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les Géants et le monde souterrain de Huang Shan

par Laurent Glauzy

Le présent document sur le monde souterrain de Huang Shan est le premier en français. Composé par L. Glauzy, il révèle l’existence d’un monde souterrain édifié bien avant notre ère par une civilisation bien plus avancée que la nôtre comme le mentionne d’ailleurs la Bible à plusieurs reprises, et dès Adam et Eve. La Chine atteste de cette vérité qui s’oppose aux mensonges de l’évolutionnisme. Une vérité qui renvoie au monde des Géants.

EXCLUSIVITE LLP et Top Secret n°75.

 

Le palais souterrain de Huang Shan constitue dans l’Anhui méridional, province de l’Est de la Chine, à 450 km au sud de Shanghai, le réseau archéologique le plus mystérieux du monde. Le corps scientifique prétend ne pas connaître l’origine des 36 grottes de quartzite qui le composent, sur une superficie de 7 km². Ces grottes, qui suivent la rivière Xin’an sur 5 km, auraient été entièrement construites de main d’hommes, il y a 2 000 ans, d’après les estimations des historiens et archéologues chinois.

Des galeries de 20 mètres de long donnent accès à des grottes reliées les unes les autres, où quelques 26 piliers aussi hauts que des habitations modernes, soutiennent le plafond. L’hypogée de Hal Safliéni, temple souterrain de grande antiquité découvert sur l’île de Malte en 1902, la ville souterraine turque de Derinkuyu de 2 500 m² et la très étrange cité enfouie de Naours dans la Somme paraissent bien minuscules par rapport à ces mystérieux labyrinthes chinois.

Connu pour sa beauté, le paysage de Huang Shan se compose d’une forêt d’aiguilles granitiques noyées dans la brume et piquetées de pins. Cette montagne mythique change sans cesse de visage, au gré des vents et des bruines, désespérant parfois les artistes qui désirent en fixer la beauté. Son point le plus haut, Lian Hua Feng, culmine à 1 864 mètres. Le massif doit son nom à Huangdi, l’Empereur Jaune, qui serait venu y chercher l’élixir d’immortalité, 2 600 ans avant notre ère. L’histoire dit que, sous l’empereur Sun Quan, le général He Qi et son armée se seraient cachés dans ces grottes, en 208 ap. J.-C.

Malgré ces références et la visite du président chinois Jiang Zemin, le 20 mai 2001, aucun journal occidental n’a évoqué ces labyrinthes aux formes surdimensionnées et aucun géologue ne semble en avoir entendu parler. La raison de cette omerta est simple : le site de Huang Shan contredit les évolutionnistes de la prétendue science et renvoie à une autre compréhension de l’Histoire de l’humanité.

 

Cependant, ce n’est pas la première fois que la Chine contrarie les oukases de l’archéologie : des tombes du IIIe siècle av. J.-C. montrent des armes chromées, un miroir chromé, ainsi que des flèches chromées. Si ces techniques renvoient à un savoir avancé, en Occident, le chrome apparaît officiellement en 1854, avec le chimiste allemand Robert Wilhelm Bunsen, grâce à l’électrolyse.

En 1993, le scientifique chinois Peter Lu, de l’université d’Harvard, a étudié une hache en corindon, parfaitement polie et taillée, et ce, bien que le matériau soit plus dur que le granit et le quartz. L’objet, exposé au musée de Nanjiang, qui « ne serait pas reproductible » par nos moyens actuels, daterait de l’époque de la culture de Liangzhu, plus de 2 000 ans av J.-C. Peter Lu a découvert une bague en jade, datant de la même période. La précision de sa taille et de ses ornements conduit à penser qu’elle ne peut pas être l’œuvre d’un travail manuel, mais de techniques inconnues. « Même avec les techniques les plus modernes de polissage, il serait impossible d’obtenir des surfaces aussi planes », explique Peter Lu.

Des parties d’une ceinture vieille de 1 500 ans qui, en 1953, fut trouvée dans la tombe d’un seigneur chinois, Zhou Chu, de la dynastie Jin (265-420 ap. J.-C.), étaient composées à 97 % d’aluminium. Sacrilège à l’archéologie moderne, car l’aluminium ne se trouve pas dans la nature sous une forme pure ; il n’apparaît en Europe qu’au XIXe siècle.

En 1986, dans Interdisciplinary Science Reviews, Anthony Butler, Christopher Glidewell et Sharee E. Pritchard, de la faculté de chimie écossaise de St Andrews, ne considèrent pas la tombe comme authentique. Ils argumentent : « Ça n’existe pas, car ce ne doit pas être ! »

Cette attitude rappelle trait pour trait ce qui fut remarqué dans le cadre de l’expertise du moulinet de la rivière Telico. En 1980, Dan Jones, un pêcheur du Tennessee, découvre un moulinet de canne à pêche incrusté dans un rocher de la rivière. La phyllithe, roche métamorphique caractéristique des Appalaches, se serait formée lors de la séparation de l’Amérique et de l’Afrique, il y aurait donc 300 millions d’années ! Pourtant, on est bien obligé d’admettre que le moulinet était présent lorsque la roche s’est constituée. Dan Jones soumet le problème au département de géologie de l’université du Tennessee, à Chattanooga, qui examine la roche et s’avère incapable de l’expliquer. La possibilité d’un faux est cependant éliminée. Comme dans le cas de la ceinture en aluminium de Zhou Chu, le responsable du département déclare : « Je suis le patron du département et je dis que ceci n’existe pas. C’est une création de notre imagination ! » Les scientifiques antidarwinistes, eux, soutiennent que cette roche n’a pas 300 millions d’années.

En 1972, dans La structure des révolutions scientifiques,le philosophe et historien des sciences Thomas Samuel Kuhn (1922-1996) explique les attitudes contradictoires de la science officielle par le fait que, « face à des anomalies graves et durables, les scientifiques ne renoncent pas au paradigme. Ils ne considèrent pas ces anomalies comme des preuves contraires, bien que ce soit là leur véritable nature. Ils élaborent de nouvelles versions et des remaniements adéquats de leur théorie, afin d’éliminer tout conflit apparent. »

Les grottes chinoises réservent bien d’autres surprises. Il semblerait que les parois ont été travaillées au burin. Une immense caverne sur deux étages, taillée dans la pierre, présente d’innombrables niches. Des piliers de pierres aux formes rectangulaires portant des monolithes de 5 000 tonnes, dont trois hommes se donnant la main ne suffiraient pas à en faire le tour, sont de nouveaux éléments démontrant que nous sommes à l’intérieur de cavernes artificielles. D’ailleurs, des traces noires sur les murs attestent d’une ancienne occupation humaine.

Cinq des cavernes ont été fermées au public pour raison de sécurité : l’eau est extrêmement présente dans cet endroit. À moins qu’il ne s’agisse de cacher des réalités, fort troublantes au public.

 

Le livre "Les Géants et l'Atlantide" de Laurent Glauzy démontre l’âge de la Terre de 6.000 ans, l’existence des Atlantes, civilisation phare de l’humanité et jamais égalée, comme l’expose Sir Frederick Soddy, prix Nobel de Chimie en 1921, dans son livre : The Interpretation of Radium (L’interprétation du radium), New York, G. P. Putnam’s Sons, 1909.

Dans l’arrière-pays niçois, Emilia Masson, scientifique du CNRS, spécialiste française en proto-écriture, découvre en 1991 que la vallée des Merveilles est un site sacré, avec un visage gigantesque taillé dans la roche. Cette observation, qui contredit les dogmes de la préhistoire, avec ses soi-disant hommes primaires incapables de la moindre intelligence, ne fut jamais annoncée au grand public. En outre, Emilia Masson fut stigmatisée. Toutes ces réflexions sont développées en 2002 par cette femme courageuse dans Vallée des Merveilles, cimes et abîmes d’une recherche. Des hommes seront même surpris, la nuit, en train de détruire des dessins de l’art pariétal. Elle y raconte aussi que les archéologues étaient de jeunes stagiaires travaillant de manière désordonnée, tandis que Henry de Lumley, le chantre de l’archéologie française, Grand Officier de la Légion d’Honneur emmenait en 4×4 des notables et des ministres sur ce site. La vérité est qu’Emilia Masson découvrit la raison de ce site, alors que Lumley, responsable des fouilles, n’y avait vu pendant trente ans qu’un amas de pierres.

Le récit de la découverte de la grotte de Lascaux, en septembre 1940, par des adolescents en vacances à Montignac (Dordogne), n’est guère différent. Il démontre une volonté farouche des autorités de détruire le site, car l’art pariétal est si perfectionné qu’il contredit les dogmes de la préhistoire et d’hommes arriérés. Le préhistorien ariégeois Jean Clottes observe même que 5 % de l’art pariétal, qui exprime des perspectives complexes, ne pourrait être reproduits par les techniques modernes. Quoi qu’il en soit, en 1957, l’abbé Glory, chargé de mission par le CNRS, effectuera minutieusement les relevés des dessins et gravures. Il fustigeait les travaux de déblaiements qui saccagèrent les peintures. Les ouvriers ne prenaient même pas la peine d’uriner à l’extérieur du site, alors que la grotte contient environ 150 peintures et 2 000 gravures au trait ! L’abbé Glory ne poursuivra pas ses travaux : de décembre 1963 à mars 1964, il fut hospitalisé à la suite d’un accident de la circulation et décédera d’un second accident de voiture, en 1966, au retour d’un séjour où il étudiait les grottes espagnoles. Cet accident est d’autant plus troublant que, peu après son décès, sa maison fut visitée et des documents qu’il n’avait jamais présentés au CNRS, furent emportés. Le père jésuite Manwel Magri, passionné d’archéologie, qui étudiait l’hypogée de Hal Safliéni à Malte, mourut lui aussi d’une « mort inopinée », en 1907. Décidément, les malédictions ne concernent pas que les tombeaux des pharaons !

Il est donc tout à fait possible que les labyrinthes et les grottes de Huang Shan révèlent des secrets bien gardés, attestant que l’homme de l’ère paléo-chrétienne possédait déjà des connaissances techniques complexes. Cette notion est conforme à la Bible. En effet, dans les premières pages de la Genèse (4, 21-22), il est écrit que l’homme connaissait déjà les instruments de musiques de la harpe et du chalumeau.

Ces réflexions sont conformes aux découvertes du Dr Khalil Messiha, en Égypte. Ce physicien constate en 1969 que l’« oiseau de Saqqarah », ne présentant ni patte ni plume, de l’époque du pharaon Séthi Ier, ayant régné de 1294 à 1279 av. J.-C., est parfaitement aérodynamique. Cet exemple n’est pas isolé. Certains objets, semblables à des maquettes d’avion, ont été découverts en Colombie, au Costa Rica, au Venezuela et au Pérou. En Haute-Égypte, au nord-ouest de Louxor, dans le temple d’Abydos, derrière un pan de mur recouvert de hiéroglyphes qui s’effritait, également de l’époque de Séthi Ier, fut découvert un dessin d’hélicoptère de type moderne, un sous-marin et un planeur.

Les grottes de Huang Shan sont aussi un témoignage d’une civilisation possédant un savoir technologique inégalé. Comme pour les sites mégalithiques incas, les blocs de pierre des grottes de Huang Shan, qui pèsent de 800 à 1 400 kg et mesurent 4,5 mètres, donnent l’impression d’avoir été taillés dans du beurre, avec des courbes et des lignes droites parfaites. Quelle machine a pu faire ce travail ? Aujourd’hui, aucune technique de découpe au laser ne pourrait réaliser une telle prouesse. Les constructeurs de ce site maîtrisaient, à n’en pas douter, des techniques demeurant actuellement inconnues. D’après les études méticuleuses de Joseph Needham, dans Science and Civilization in China (Science et civilisation en Chine) (1986) et de Donald B. Wagner dans Iron and Steel in Ancient China (Fer et acier dans l’ancienne Chine) (1993), les Chinois commencèrent dès 400 av. J.-C à transformer le fer en acier. Si pareille technique était alors connue, rien ne peut exclure que d’autres modes de taille aient pu exister.

Le Dr Clifford A. Wilson avance pour sa part que la pierre qui compose les statues moaï de l’île de Pâques est aussi dure que celle des blocs composant les pyramides incas et égyptiennes. Cet archéologue créationniste et psycholinguistique australien, qui défend la théorie d’une Terre âgée de 6 000 à 10 000 ans, affirme que le martelage répété d’un ciseau d’acier les aurait à peine éraflées. Dans The Chariots Still Crash (Les chariots continuent de s’écraser) (1975), il atteste qu’il aurait fallu à six hommes une année entière pour tailler la seule tête d’un moaï. Nous constatons que différentes civilisations appartenant à des temps reculés auraient pu bénéficier de techniques communes.

De nouvelles recherches indiquent là aussi que ces structures proviennent de la main d’hommes, il y a plusieurs milliers d’années. Comme Emilia Masson à l’égard de la mystérieuse vallée des Merveilles, Luc Bürgin suggère même qu’il s’agirait d’un lieu sacré. Les grottes de Huang Shan, qui ne donnent pas le moindre écho et ont de ce fait une acoustique parfaite, cachent-elles un autre secret ?

Pour ne pas perdre la face devant tant d’interrogations, les scientifiques chinois évoquent un hypothétique mode de stockage salin, alors que l’endroit est excessivement humide à cause de la proximité de la rivière Xin’an. Les géologues pensent que ces grottes ont été habitées par des travailleurs de carrières qui vécurent dans ces galeries gigantesques.

Les Chinois considèrent le monde souterrain de Huang Shan comme la neuvième merveille du monde, après la muraille de Chine. Une merveille qui ne finit pas de surprendre, car elle a son double : à 180 km, à l’ouest, dans la province de Zhejiang, le site de Longyou (Quzhou) ressemble au site de Huang Shan. Les plus grandes grottes s’y étendent sur une superficie de 1 000 m². Il s’agit de 24 grottes artificielles, dont cinq ont des piliers en pierre de douze mètres de haut. La particularité de Longyou est que ce complexe souterrain recense trois représentations d’animaux en haut-relief : un cheval, un oiseau et un poisson.

Ces motifs sont absents des grottes de Huang Shan. A contrario, il manque dans les grottes de Longyou des traces de suie qui trahiraient la présence d’un quelconque éclairage. D’ailleurs, ces interrogations ne sont pas propres à cet énigmatique labyrinthe. Dans La plus vieille énigme de l’humanité (2013), le dessinateur Bertrand David et l’historien Jean-Jacques Lefrère s’étonnent que de soi-disant hommes préhistoriques et nomades, connaissant des conditions de vie particulièrement dures, aient réalisé des dessins aussi parfaits, comme dans la grotte Chauvet, plus ancienne, ou la grotte de Lascaux, plus célèbre. Les auteurs de ce livre s’étonnent du fait que des dessins pariétaux d’animaux, d’une perfection étonnante, soient reproduits sur les supports les plus inaccessibles, les parois les plus biscornues et les fonds les plus obscurs : aucun dessin n’est reproduit à l’entrée des grottes.

Autre singularité de Longyou, une des grottes présente des inscriptions qui semble avoir 2 000 ans, d’après les estimations du Pr Zhila Yang, de l’Académie chinoise de science de Pékin, dans le Chinese Journal of Rock Mechanics and Engineering, en 2011. Cette estimation est tout à fait plausible, car les grottes de Longyou sont mentionnées dans les poèmes de Yu Xun, en 1626 et 1667, ainsi que dans les récits de la dynastie Song (960-1279). Et, des fragments de vase de la dynastie Han, 206 av. J.-C à 23 ap. J.-C, y ont été retrouvés.

Les labyrinthes de Huang Shan seraient de la même période, voisine de la disparition de l’Atlantide, que l’égyptologue Fernand Crombette (1880-1970) – spécialiste de copte ancien opposé aux techniques de lecture des hiéroglyphes du Franc-maçon Champollion - qui avait entrepris des recherches avec le Dr Jules Rouch (1884-1973), directeur du musée océanographique de Monaco, datait à 1226 av. J.-C. Ce rapprochement est d’autant plus troublant qu’en 2013, dans Chinas mysteriöses Höhlenlabyrinth, die unterirdische Welt von Huang Shan (Le mystérieux labyrinthe de grottes chinois, le monde souterrain de Huang Shan), Luc Bürgin, Suisse passionné d’archéologie, qui a visité les lieux et fourni des photographies inédites dans son ouvrage, souligne que « les rayures évoquent des empreintes digitales de géants. »

Cette remarque est d’autant plus subtile que les légendes chinoises font état de géants dans la partie septentrionale de la Chine, sur une île de l’ancienne mer de Gobi (The World’s Last Mysteries (Derniers mystères du monde), 1978,p. 138). D’ailleurs, les Atlantes avaient pour roi Poséidon, dieu des mers et des océans, dont le petit-fils Alcinoos était un géant. Dans le Critias, le philosophe grec Platon, qui affirmait que l’Atlantide « n’est pas une fable, mais une histoire vraie », mentionne la capacité des Atlantes à façonner le paysage : Poséidon, le dieu des Atlantes « abattit tout alentour les pentes pour en faire une solide forteresse, établissant les uns autour des autres, de plus en plus grands, des anneaux de terre et de mer, deux de terre et trois de mer, lesquels étaient, comme s’il eût fait marcher un tour de potier, de tous côtés équidistants du centre de l’île, rendant ainsi inaccessible aux humains l’île centrale. » (114a) Ces géants, qui auraient pu être les édificateurs de la vallée des Merveilles, auraient creusé, grâce à leurs connaissances, la roche de Huang Shan et de Longyon, comme sur l’Atlantide. Nous pouvons le penser !

En juillet 1961, Tschi-Pen-Lao, professeur d’archéologie à l’université de Pékin, découvre sous la Vallée des pierres, un dédale de souterrains. Il constate que les parois sont lisses, ornées de magnifiques dessins, et que l’on n’y trouve aucune trace de torche ni de suie liée à un quelconque mode d’éclairage, malgré l’obscurité du lieu. Les mêmes légendes chinoises relatent une source d’énergie diffusant une lumière vert fluorescent, aussi intense que celle du Soleil, qui aurait permis la construction de ces impressionnants complexes.

Enfin, dans la partie centrale du pays, à plus de mille kilomètres à l’ouest des grottes de Huang Shan, loin de toute curiosité scientifique, pas moins de deux cent cinquante pyramides ponctuent le vaste paysage de la province de Shaanxi et des plaines du Qin Chuan. À titre de comparaison, cent trente-huit pyramides sont répertoriées en Égypte. En Chine, l’une d’entre elles, surnommée « la grande pyramide blanche », atteint une hauteur de trois-cents mètres, soit deux fois la taille des plus imposantes pyramides égyptiennes. D’après les archéologues chinois, l’empire du Milieu a toujours cherché à cacher un tel patrimoine, synonyme d’une ancienne civilisation aux connaissances avancées. La Chine, de par ses nombreux vestiges énigmatiques, démontre bien que la préhistoire est un mythe servant à dissimuler l’existence de civilisations aux connaissances prodigieuses pouvant provenir des géants de l’Atlantide. Les labyrinthes et les grottes de Huang Shan et de Longyou en seraient un témoignage intact, renvoyant ainsi au monde de l’Agartha. L’Atlantide, quant à elle, serait un des centres de ce royaume appartenant aux légendes !

 

Entretien avec Laurent Glauzy

youtube.com

Remarques concernant cet article de Laurent Glauzy :

 

L'âge de la Terre de 6000 ans est une erreur. Je pense qu'il s'est passé quelque chose d'important il y a environ 6000 ans comme le témoigne tous les vestiges gigantesques présent dans le monde et qui résiste à la science officielle. Un remarque que c'est la période de Sumer qui nous fait part des Anunnakis !

 

Concernant les villes souterraines on connait Tiawanaco. On peut en déduire que ces villes souterraines ont été construites par des êtres issus de civilisations développées et devant vivre dans le sous-sol. Ce qui pose la question d'en savoir la raison. Furent-ils des extra-terrestres craignant le soleil ou bien les survivants de civilisations détruites par le Grand Déluge de la Bible et qui ont fait redémarrer la civilisation actuelle dont les vestiges énigmatiques sont Tiawanaco, Palenque, Massu Pichu, Baalbek et les pyramides égyptiennes, chinoises, bosniaques .... Mais je ne sais pas si ces vestiges sont anté-diluviens ou post-diluviens! Les deux thèses sont aussi intriguantes l'une que l'autre.

 

Je situe le Grand Déluge il y a 12000 ans environ. Et parie sur la disparition de l'Atlantide ou civilisations assimilées à cette date là.

 

Je réfute la durée des ères géologiques qui confortent l'évolutionnisme. Je crois aussi que la fossilisation n'est pas le résultat d'un long processus mais l'effet d'une immédiateté fulgurante...

 

Je vous invite à étudier les théories de Zillmer.

Une énigme non résolue par les archéologues

 

Les zhulongs sont des objets attribués au néolithique chinois. Cependant, certains de ces objets sont en néphrite, une pierre très dure et particulièrement difficile à ouvrager. Les archéologues prétextent de la persévérance des anciens chinois qui auraient été capable de travailler ces objets une vie entière jusqu'à complète réalisation!

 

C'est encore une fois de plus ce genre de déduction qui permet de conforter l'évolutionisme et d'écarter la possibilité pour ces objets d'avoir été créés par des artistes ayant des techniques plus évoluées encore que les nôtres ! Et de nous interdire d'imaginer que ces artistes vivaient dans des civilisations plus évoluées que la nôtre.

 

On peut comparer les zhulongs aux ouroboros, sortes de dragons présents dans la mythologie de plusieurs cultures anciennes. Cette comparaison nous emmène à penser aux vestiges gigantesques que l'on trouve partout sur terre et qui nous prouvent la présence post ou anté-diluvienne de civilisations disparues. L'Ouroboros est à mon sens le serpent ou le dragon qui est un symbole omniprésent dans les mythes, travesti en divinité ou démon, il représente aussi cette entité capable de voler que l'on peut assimiler à un vaisseau spatial.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ouroboros

 

 

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