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Tchernobyl - des mutations - des monstres

Après les plantes et les animaux...

A quand l'aveu des mutations humaines?

"La science moderne

est

la Bible du Démon"

Padre Pio

Le 26 avril 1986 à 1h23 du matin, une explosion retourne la dalle de béton du réacteur numéro 4 de la centrale ukrainienne de Tchernobyl. La gravité de l'accident, mais aussi et surtout l'incurie des autorités soviétiques à tous les niveaux, ont fait de Tchernobyl la plus grande catastrophe du nucléaire civil, un désastre humanitaire et écologique qui frappe les trois quarts de l'Europe 

 

 

Thernobyl, des mutations, des monstres...

Article trouvé sur la toile


On avait prédit que les environs de Tchernobyl deviendraient un désert. Ce n'est pas ce qui est arrivé. Sur les terres irradiées, se développe à grande vitesse une vie nouvelle, angoissante, anormale et agressive... A quelques milliers de kilomètres, un monde terrifiant est en train de naître... Les "animaux mutants attaquent". un veau à deux têtes, un porc avec un oeil sur le côté, un poulain aux membres atrophies ... Ce genre de monstres naît régulièrement dans la région de Tchernobyl. Maria a 76 ans. Elle vit dans sa ferme de Pripyat, au nord de l'Ukraine. Ses deux chiens ont été devorés par des loups géants. A Tchernobyl – Prypyat, dans le nord de l'ukraine. un camion déglingué de l'époque sovietique brinquebale le long d'une route non-goudronnée, soulevant dans son sillage d'épais nuages de poussière rouge. A l'arrière, sur le plateau couvert d'une bâche qui claque au vent, un stock de vivres: bouteilles d'eau et de lait, quartiers de viande, cageots de légumes... Le camion ralentit, pénètre dans ce qui semble avoir été autrefois, une ville, mais qui n'est plus aujourd'hui, qu'un décor fantôme. Des immeubles en béton à moitié en ruine, des trottoirs balayés par la poussière, des pylônes électriques à perte de vue, les restes pitoyables d'un parc d'attractions où aucun enfant ne vient plus jamais jouer...

 

La radioactivité

 

Phénomène qui fut découvert en 1896 par Henri Becquerel sur l'uranium et très vite confirmé par Marie Curie pour le radium,est un phénomène physique naturel au cours duquel des noyaux atomiques instables, dits radio-isotopes, se transforment spontanément (désintégration) en dégageant de l'énergie sous forme de rayonnements divers, pour se transformer en des noyaux atomiques plus stables ayant perdu une partie de leur masse. Les rayonnements ainsi émis sont appelés, selon le cas, des rayons α, des rayons β ou des rayons.

 

Bienvenue dans le monde terrifiant, disgracié de la région de Tchernobyl !

 

Ce lopin de terre est "leur unique richesse". Le camion sort de la ville et roule jusqu'à Parishev : un village situé à sept kilomètres de la centrale nucléaire sinistrée. Il se gare devant une petite bicoque en béton, au toit de tôle, qu'entoure une clôture de planches moisies. Une vieille dame est occupée à passer le balai sur le seuil. C'est Maria, la femme qui habite ici... Ses cheveux blancs sont retenus par un fichu vert. Elle porte aux pieds de grossières sandales taillées dans un pneu. D'un geste de la main, elle salue son visiteur, mais ce dernier, ne descend pas de son camion. Il semble avoir hâte de repartir. Il attend en silence que Maria décharge elle-même de la plate-forme sa ration de viande et de lait. Avant de redémarrer, il lui lance, avec un sourire un peu apitoyé:
-« Alors, maria, toujours pas décidée à partir?
- Si vous voulez, je vous emmène...
- Tu m'emmènes ? Et où voudrais-tu que j'aille ? ici, je suis chez moi... je reste. Â» Cela fait plus de vingt ans qu'on pose à Maria, la même question :
« pourquoi, ne pas partir ? Â»
Et, depuis vingt ans, elle répond par la négative...Quand le 26 avril 1986, le réacteur de la centrale nucléaire de Tchernobyl a explosé, les 45 000 habitants de la ville de Prypiat ont été évacués dans la plus grande précipitation : ils se trouvaient au coeur du coeur de la zone contaminée, dans le plein flux des radiations mortelles.
Mais maria et son mari Mikhaïl et 350 autres paysans avec eux n'ont pas pu se résoudre à abandonner leur lopin de terre : la seule richesse que leur avait laissée le régime soviétique.
Trois jours seulement, après l'accident, ils sont revenus vivre chez eux. et sans qu'on sache, par quel miracle, ils ont résisté ! envers et contre tout ! Malgré ce qu'avaient prédit les médecins et les experts du monde entier, ils ont survécu.
En ce jour de juin 2007, tandis qu'elle regarde le camion s'éloigner dans l'immense étendue déserte, Maria aurait pourtant des raisons de vouloir partir, des raisons d'avoir peur. Là, à moins de 50 mètres de chez eux, sur la gauche de la maison, un bosquet de mauvaises herbes s'élève à plus de deux mètres. Il a jailli du sol avec une soudaineté déconcertante. Le terrain jadis aride, est aujourd'hui envahi de plantes grimpantes, de ronces, d'arbrisseaux secs, qui gagnent et se rapprochent peu à peu. Ces dernières années, Maria a vu se multiplier dans son jardin potager des lapins, des musaraignes, des serpents, des renards roux. Elle est certaine aussi d'avoir aperçu dans les forêts alentours, sans cesse plus épaisses, des silhouettes d'animaux qui avaient depuis longtemps déserté cette région industrielle. Des ours bruns, des chevreuils, des élans anormalement grands, et même un lynx à la démarche bizarrement lourde qu'elle a surpris en train de rôder à moins de 50 mètres de la maison. Au coeur de la ville morte...
les scientifiques avaient prédit que la région de Tchernobyl deviendrait un "no man's land",  un désert, une contrée pétrifiée d'où toute vie serait bannie. C'est en réalite, l'exact contraire qui est en train de se produire : les animaux sauvages pullulent et croissent en taille. La végétation devient envahissante. La terre donne des légumes énormes, hypertrophiés. Les mauvaises herbes pénètrent jusqu'au coeur de la ville morte, envahissant les immeubles et les appartements. La centrale nucléaire elle-même est aujourd'hui recouverte d'une mousse humide, d'un tapis de champignons noirâtres... De grands oiseaux ont même installé leur nid  

sur le sarcophage de béton qui recouvre le réacteur fendu !

Un écosystème anormal s'est développé.
Faut-il pour autant se réjouir que la nature ait repris ses droits, qu'elle ait survécu, triomphé de la forte radioactivité ambiante ?

Malheureusement, non ! Car les formes de vie qui se développent ici, ne répondent pas aux normes que nous connaissons...

Il y a deux ans déjà, des biologistes américains de l'université de technologie du Texas ont rédigé sur la question, un rapport inquiétant : qu'ils ont remis aux nations unies. Curieusement, personne n'a jugé bon de porter ce travail à la connaissance du public... Comme si le sujet devait rester secret ou que l'on redoutait des réactions de panique. Notre étude, écrit notamment Robert J. Baker, le responsable de la mission, montre qu'un écosystème anormalement dynamique se développe dans les environs de Tchernobyl, et jusque dans les endroits les plus touchés par les radiations.

 


Les animaux et les plantes

que nous avons examinés présentent un ADN Modifié,

ce qui explique leur mutation

 

Mais cela ne semble pas empêcher la faune et la flore locales de croître à une vitesse préoccupante. Plus récemment, en mars dernier, le même Robert J. Baker a lancé un nouveau cri d'alarme, en déclarant aux journalistes de l'agence Associated Press : " Aussi étonnant que cela puisse paraître, l'environnement créé par le désastre de Tchernobyl, semble favorable à la vie sauvage... "

Mais il est encore trop tôt pour comprendre cette prolifération d'animaux, de plantes mutantes. Et surtout, pour mesurer l'impact que cela aura, tôt ou tard, sur les habitants humains de la zone...

Il y a deux mois, les deux chiens de Maria ont été dévorés par une horde de loups géants. Jamais, la vieille paysanne, au long de ses 76 ans d'existence, n'avait assisté à une chose pareille. Les loups, d'habitude, ne s'aventurent pas si près des fermes, et ils ne manifestent jamais autant de voracité. Mais ceux-ci, étaient plus grands, plus robustes que les prédateurs ordinaires. Maria prétend,

mais peut-être se trompe-t-elle, que le plus grand avait quasiment la taille d'un âne ! Les bêtes meurent, prématurément. Aujourd'hui, chez tous les habitants du village de Parishev, les poules et autres volailles de basse-cour se développent anormalement. Les radiations nucléaires ont contaminé les sols et les eaux, produisant un nombre croissant d'aberrations de la nature ; les bêtes naissent déformées et meurent prématurément. Les petits veaux, notamment, viennent souvent au monde sans tête ou sans patte, les porcelets ont le crâne monstrueusement déformé... Mais avec le fatalisme résigné des moujiks de l'ancienne russie, Maria et son mari Mikhaïl continuent de faire pousser leurs tomates, de se nourrir des poissons de la rivière et de brasser leur propre vodka. Les autorités ukrainiennes donnent à chaque habitant de la zone un rouble par jour, 3 centimes d'euros, pour acheter des produits sains importés des régions voisines. Mais malgré ce revenu, d'ailleurs, largement insuffisant, les paysans continuent à cultiver leur terre.



Courageux ou inconscients.


Maria et Mikhaïl, pionniers bien malgré eux, vivent désormais en lisière d'un monde inconnu, mystérieux, peuplé de silhouettes monstrueuses. La nuit, pour ainsi dire sous leurs fenêtres, ils entendent des cris étrangement sonores, des feulements, des appels qu'ils ne reconnaissent pas... Ces gens courageux, certains diront inconscients, n'ont jamais eu peur des radiations ou du danger nucléaire. Aujourd'hui, bien qu'ils en parlent peu, ils craignent la forêt qui les enserre, qui se rapproche chaque année un peu plus, ils craignent les bêtes mutantes qui se faufilent sous le couvert des arbres...

 

Le pêché!

ω

M. Oppenheimer lui-même, maître scientifique du projet, dira en 1948

que les physiciens ont "connu le péché" .

La plupart, toutefois,

continueront leur collaboration avec les militaires pour développer la bombe H."

définition du pêché:

D'après cette réflexion de M. Oppenheimer;

le pêché c'est ce qui modifie la nature de l'homme, la modification de son ADN.

Cela nous interpelle aussi sur le transgénique

qui dans sa propre définition "passe la barrière du vivant.

Ici c'est du " racisme* " de la cellule dont on parle,

et au delà de cette capacité qu'a l'ADN de protéger l'individu des changements

pour perdurer dans le temps.

C'est bien ce que pensait Openheimer quand il a ouvert la boîte de Pandore

au moment de la première explosion atomique qu'il avait cooproduite!

Il a pris peur des conséquences,

mais bien incorrigible comme tous les savants à ce niveau,

il a perduré dans son oeuvre de destruction suprême.

 

Thèse et Antithèse

 

Car l'arme irradiante n'est pas une arme conventionnelle, elle transmet le mal aux générations futures! La dégénérescence au sens stricte: la destruction de ce qui fut généré. Car nos savants sont croyants forcément, eux qui jouent aux apprentis sorciers, et on les associerait bien au Démon ... Cependant, le Démon c'est la Savant par définition, à ne pas confondre avec le Diable qui n'est que la partie simpliste du Démon. Mais le Démon joue au Con !

"Racisme" est ici pris dans une assertion purement scientifique et dans un sens eugénique. Ce qui n'a rien à voir avec la définition ordinaire du Racisme qui fait l'amalgame entre des notions comme xénophobie et eugénisme;

 

NOTA : Sur ARTE on a tous vu le reportage concernantTchernobyl. Il semble traiter du même sujet. Mais dans le désordre à mon goût ou du bout des lèvres! Je parle dans un autre article des mutations des drosophiles... Cherchez donc un peu et ouvrez les yeux... La seule évolution radicale provient de la modification des cellules par le bombardement des rayons Gamma qui casse les maillons de la chaîne d'ADN. Par défintion : le Péché, ce qui modifie la Nature ...

 

Légende

 

Dans les monts d'Arrée, en Bretagne, il y a une vieille centrale. Elle fut construite dans un endroit où la tradition Celtique situe les infernaux paluds... Dans les marais... Résidence des forces maléfiques! Et sur un surplomb, à proximitése trouve un lieu Saint, une chapelle... La Chapelle Saint Michel. Pour nous rappeler toujours cette lutte entre l'Archange et le démon... Et le démon, le savant, prend la carapace de l'Archange...  La lumière contre l'obscur...

 

L'obscur c'est la mutation

 

Tchernobyl est un labo à ciel ouvert. L'intérêt n'a jamais été pour les scientifiques les radiations de haute intensité! Elles sont radicalement mortelles... Leur seule passion, c'est la radioactivité de faible intensité. Celle qui va créer autre chose... Quelles plantes...Quels animaux... Et quels hommes... Quels monstres ...

 

Ben voyons... Et puis c'est loin Tchernobyl ! Alors allons donc faire un tour près de la centrale de Brennilis... Ben oui, dans les Monts d'Arrée. Vous vous rappelez, le Grenelle de l'environnement! Quelle déroute, hein...  Ben non, pas une déroute pour le nucléaire.  Comme d'hab, la chose atomique touche au secret militaire.

C'est le principal reproche que lui ont toujours fait les Purs de l'écologie. Et pourtant,  ne serait-ce qu'à Brennilis, il y en a ... des radionucléides qui se baladent...

 

Lien vers une étude sérieuse

 

Analyse de la radioactivité aux alentours de la centrale de Brennilis par la CRIIRAD 

http://www.criirad.org/actualites/dossiers%202007/Brennilis%2007/pwt-impactbrennilis.pdf

 

UNE HISTOIRE NATURELLE

 

Aujourd'hui, seulement moins de 3 % de la radioactivité initiale subsiste à Tchernobyl. Mais il faudra plus de deux siècles pour que le césium et le strontium rejetés lors de l'explosion et de l'incendie aient perdu toute leur charge radioactive. Selon l'hypothèse d'un laboratoire américain de génétique, les souris (la quarantième génération depuis la catastrophe) ne seraient pas affectées par ces radionucléides absorbés quotidiennement en doses colossales, parce qu'elles auraient su développer des résistances naturelles sophistiquées. Aucun des chercheurs interrogés ici ne se risque pourtant à tirer des conclusions générales sur cette énigme écologique.

Il y a des analyse un peu optimistes à mon sens. Ici sur le site ARTE VOD, on présente l'affaire comme une histoire naturelle. Il est vrai que ARTE, tout en restant un chaîne culturelle n'en est pas moins liée au pouvoir en place! Elle dit tout, mais il faut savoir lire entre les lignes.

 

Lien

http://www.astrosurf.com/luxorion/index.htm

 

 

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